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Fluctuat, nec mergitur

Bestiarium Hispaniae

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Références

  • Gamme : Aquelarre
  • Sous-gamme : Aquelarre - 3ème édition
  • Version : première édition
  • Type d'ouvrage : Catalogue
  • Editeur : NoSoloRol Ediciones
  • Langue : espagnol (castillan)
  • Date de publication : octobre 2015
  • EAN/ISBN : 978-8494435232
  • Support : Papier
  • Disponibilité : Paru

Contributeurs

Contenu de l'ouvrage

Matériel

Livre à couverture rigide de 282 pages en couleurs.

Description

Bestiarium Hispaniae contient 120 créatures classées en 7 chapitres, un scénario ainsi que de nouveaux avantages et désavantages réservés aux créatures.

Après une double page avec une illustration sur la droite, le titre et le sujet sur la gauche pour les catégories de créatures, ces dernières sont toutes présentées de la même façon. Sur une double page se trouvent ainsi :

  • le nom principal
  • l’origine géographique
  • les noms secondaires
  • la description
  • les caractéristiques en termes de jeu
  • 5 idées d’aventures mettant en scène la créature
  • une illustration

Quelques rares encarts viendront parfois ajouter des précisions comme un contexte historique ou une légende alternative.

Après la page de garde (1 page), l’ours (1 page) et l’Index (1 page), l’ouvrage s’ouvre sur un Prologo (1 page) de l’auteur sur l’historique éditorial du supplément et sur la situation géopolitique de la péninsule en 1350 (1 page).

Le premier chapitre consacré aux créatures s’intitule Numen (40 pages) et traite des dieux, demi-dieux et autres êtres uniques et immortels. Ils sont au nombre de dix-neuf.

Le chapitre suivant, Razas fantasticas y pueblos malditos (36 pages) détaille seize races fantastiques ou peuples maudits. En exception à la règle générale de présentation, les Golluts ont deux pages supplémentaires pour une remarque historique.

Ensuite vient le tour des créatures du monde spirituel sans corps physique avec Animas y espectros (38 pages) représentées par dix-huit individus.

On poursuit avec le petit peuple dans Feéricos : el Pequeño Pueblo (60 pages) avec vingt-huit spécimens. Le Manona est présenté sur quatre pages.

Animales fantasticos y monstruosos (34 pages) liste seize animaux surnaturels et/ou monstrueux.

Sierpes y dragones (16 pages) ajoute à la liste six animaux plus reptiliens de nature. Une double page sera utilisée pour un petit historique des relations entre les hommes et les dragons.

Enfin, le bestiaire se termine par Otros (36 pages) divisé en trois catégories : Licantropos y hombres bestia, Vegetales et Ogros avec respectivement huit garous, deux arbres et sept ogres.

Une aventure de 10 pages pour 3 à 5 joueurs, Fabula : Sacrificiorum Morti, vient mettre en scène quelques créatures rencontrées auparavant. C’est la nuit de la Saint-Jean en Cantabrie et c’est un peu comme Halloween mais en été puisque les créatures surnaturelles sont de sortie.

L’Appendix : Con sangre maldita (2 pages) propose une liste d’avantages et de désavantages réservée aux PNJ reliée aux bestioles surnaturelles.

Deux listes alphabétique des créatures (2 pages chacune) --Indice de criaturas por procendencia (par région) et Indice de criaturas alfabetico-- et une Bibliografia (1 page) concluent le supplément.

Cette fiche a été rédigée le 5 avril 2021.  Dernière mise à jour le 8 avril 2021.

Critiques

µ  

Il y a 125 créatures décrites dans le Livre des Règles, ce Bestiaire en ajoute 120. Les plus sont les illustrations pour toutes et les idées de scénario.

Il y a parfois un sentiment de redite, surtout lorsqu'on aborde le Petit Peuple et les "Duendes" (genre de Minipouss plus ou moins malins) qui se ressemblent quand même pas mal. Mais bon, pour les MJ scrupuleux qui veulent avoir celui spécifique à la région dans laquelle il fait jouer, j'imagine que c'est capital.

En parcourant l'ouvrage, il vient une envie de s'en servir comme dans X-Files ou Supernatural: des monstres de la semaine entrecoupés par des scénarios d'une campagne plus générale qui n'aurait rien à voir avec les bestioles. Car si on veut utiliser le maximum de ce qui nous est présenté ici, on ne peut pas faire de chaque créature une campagne.

Le scénario proposé n'est pas super intéressant. Il se contente d'empiler quelques monstres de la région dans un format "donjon" des plus classiques.

En tous cas, même si ce n'est pas un supplément indispensable, encore une bien belle réussite pour cette édition d'Aquelarre.

Critique écrite en avril 2021.

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Mots des auteurs

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