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La société pardonne souvent au criminel, jamais elle ne pardonne au rêveur (O. Wilde)

Kobolds Ate My Baby!

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Références

  • Gamme : Kobolds Ate My Baby!
  • Version : quatrième édition
  • Type d'ouvrage : Livre de base
  • Editeur : Dork Storm Press
  • Langue : anglais
  • Date de publication : décembre 2005
  • EAN/ISBN : 1-930964-62-5
  • Support : Papier
  • Disponibilité : Paru

Contributeurs

Contenu de l'ouvrage

Matériel

Kobolds Ate My Baby! Super Deluxx Edition : livre de 48 pages à couverture rigide (format 16 x 28 cm).

Description

Le livre de base contient toutes les règles du jeu ainsi qu'un scénario d'introduction. Il n'y a pas réellement d'univers précis, celui-ci est une sorte de parodie médiévale-fantastique.

"Introduction" (5 pages) présente le jeu avec un lexique et une explication du concept. La dérision et l'humour sont très présents pour que le lecteur n'ait aucune illusion sur l'objectif et le contenu du jeu.

"Kobold creation" (16 pages) rassemble les règles de création de personnage : 4 caractéristiques, 23 compétences, 6 avantages et 6 désavantages permettent de le définir. Le matériel est ensuite regroupé en trois tables de 12 objets : les armures, le matériel et les armes. Une feuille de personnage est également fournie.

"How to play" (13 pages) contient les règles importantes du jeu, notamment les règles de combat, de cuisine, et les diverses règles ayant trait à la mort d'un kobold, au respect dû au roi Torg, à la fragilité d'un bébé, et au partage des points de victoire, entre autres.

"Chapter 4 : is none of your damn business" (12 pages) fournit des éléments complémentaires comme les caractéristiques d'humains normalement constitués et de diverses créatures (chat, chien, poulet, etc.). Il revient également sur les constituantes essentielles d'une partie de Kobolds Ate My Baby! : la bière et les bretzels, avant d'expliquer en détails les différentes morts horribles que peut connaître un kobold. Enfin, il se termine par une aventure de trois pages "What's for lunch ?" où les personnages devront se rendre dans une petite ville afin d'enlever un bébé pour le roi Torg ("Gloire au roi Torg!").

Cette fiche a été rédigée entre le 8 mai 2000 et le 8 mai 2009.  Dernière mise à jour le 18 mai 2010.

Critiques

Coredump  

Je crois bien que j'ai trouvé mon nouveau jeu de convention ! Court, simple, drôle, et extrêmement efficace... Ce jeu a décidément tout pour plaire.

J'ai particulièrement apprécié les illustrations de Kovalic qui rendent bien l'humour du jeu. J'aime beaucoup l'intrusion du "monde réel" dans le jeu avec la nécessité pour les joueurs de mimer, bruiter, faire les zouaves... Chahut obligatoire, sinon on retourne tous jouer au World of Darkness.

Les tables aléatoires sont également pleines de bonnes trouvailles. Bref, ça promet de jolis moments de poilade en perspective. Evidemment, la durée de vie du jeu sera à l'avenant car les tables aléatoires sont relativement courtes, et le concept assez étroit, mais vu le format et le prix ($15, soit environ 12 euros), on ne peut pas se plaindre.

Le temps de lire ce petit manuel bourré d'humour, et vous êtes prêt à occuper n'importe quelle soirée un peu morne par une bonne petite partie de KAMB. Plus accessible que Paranoïa, avec un humour absurde du même acabit, je ne pouvais qu'adorer. Et vous ?

Dominator  

Wow ! Le simple fait de lire l'endos de ce petit livre m'a tout de suite forcé à l'ouvrir pour poursuivre la lecture. Humour, simplicité et incitation à jouer de façon physique, voilà les grands traits de KAMB deluxx edition.

Bien que je sois d'ordinaire un amateur de jeux plutôt sérieux et songés, avec des intrigues bien ficelées, des personnages qui ont de la consistance et des systèmes plutôt "réalistes" et "simulationnistes", KAMB a su me rappeler que dans l'expression "jeu de rôle", et bien il y a le mot "jeu". Le système est effectivement simple et très fluide et permet donc de jouer autant dans un univers pseudo-méd-fan que de s'adonner à une parodie de Star Wars ou des jeux White Wolf (je prépare justement Kobolds : the Hunger).

Bien sûr, les parties peuvent être courtes, mais la vitesse à laquelle se crée un personnage et l'univers absurde du jeu (oui, il y a tout de même une sorte d'univers) font que les joueurs dont le personnage est décédé peuvent rapidement réintégrer la même partie. Personnellement, je l'emploie comme jeu de fin de soirée lorsque mes joueurs, après une séance de jdr plus "sérieuse", veulent encore jouer tandis que mon cerveau commence à se fatiguer.

KAMB est aussi un excellent jeu pour tous ceux qui ne sont justement pas rôlistes. Plus amusant que bien des jeux de cartes et surtout moins compliqué que bien des jeux de société, KAMB n'a d'autre ambition que celle de nous faire passer un bon moment de rigolade et il y parvient à merveille !

J'aurais aimé qu'il remporte le grog d'or...

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Mots des auteurs

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Critiques

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